COMMUNIQUE DE BALLADYNA (CONCERT)

 

COMMUNIQUE DE BALLADYNA
(CONCERT)

« In a musical world influenced by everything from it’s past and confused about it’s future
you have crated an originally addictive genre, desperate to emerge and beautiful to behold… »
(Markus Mera – décembre 2011, par : « N1M »)

An originally addictive genre – n’est que le couRAGE de Crier –
et le couRAGE venant d’une seule raison simple – celle que – si on veut vivre vraiment –
il ne faut pas rester silencieux. Muet. Sans réaction.
Le Cri est la richesse – comme la richesse est aussi la capacité à la Révolte
et l’aptitude de ne se laisser pas voiler les yeux par les mines
des hypocrites-rois de ce monde.

La Révolte, la Lutte, la Démasquation (en français : « le démasquage »)
des ignominies de la loi et du pouvoir – serait-ce alors un addictive genre… ?
Sans doute desperate to emerge…
Car il le faut.
Certaines choses devraient Être Dites,
simplement et sans s’inquiéter des conséquences.

Le 22 décembre – juste deux soirées avant la veille des Fêtes de Noël
quelques-unes de ces choses seront alors dites – et surtout chantées, hurlées,
peut-être aussi dansées – à l’occasion de l’événement organisé par Marc-Louis Questin.
Les Witches ne fêtent pas de Noël, elles ne font pas des fêtes du tout –
mais leur œuvre se fait sans cesse et partout.
Venez alors.

BALLADYNA De Tempête

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Coordonnées et la date de l’événement:
22 décembre, à 20h – « La Cantada », Paris.
Adresse: 13, rue Moret (m° Ménilmontant).
Une partie suivante de présentation du travail continu
sur les enregistrements des nouveaux chants de Witch
– étant en même temps les versions vocales
des fragments du Livre (en rédaction)
“UNE LILITH DE PLUS. HISTOIRE D’UN MEURTRE LÉGITIME”
© BALLADYNA/Théâtre de RÉVOLTE
MUSIQUES: L.O.U.P.
Gestion du son sur scène : Yves JAMET.

Le court concert (d’environ une demi-heure)
ouvrira la Soirée des Écrivains, qui se prolongera jusqu’à la minuit.

Visuel sur cette page: Ania Vercasson-Rubaïeva
/photo de la présentation des chants –
« Le Langage des Viscères », Les Trois Baudets, Paris, octobre 2011/)