Les Black Eyed Peas ont enflammé le Nice Jazz Festival

Les Black Eyed Peas ont enflammé le Nice Jazz Festival. C’était sans doute la soirée la plus attendue de cette 71e édition. D’ailleurs, elle affichait complet dès le début de l’après-midi.

Black Eyed Peas (crédit photo : Ville de Nice)

 

A 23 heures, Will. I. Am, Apl.de.Ap et Taboo se sont élancés sur scène.  Lorsque les premières notes de Let’s get started ont retenti, le public s’est enflammé immédiatement. L’ambiance est survoltée et le sera pendant une heure et demie. La pelouse de la scène Masséna, noire de monde, ressemble à une discothèque à ciel ouvert.  Le groupe enchaîne les tubes, qui ont marqué les années 2000. Les spectateurs reprennent les refrains et se déhanchent. Fergie, l’emblématique chanteuse du groupe n’était pas là. Elle était remplacée par Jay Re So, dont Will. I. Am  a plusieurs fois cité le nom, pour bien signifier qu’elle faisait désormais partie du groupe. Très à l’aise sur scène, elle a repris les titres phares et notamment un Boom boom pow endiablé.

Les Black Eyed Peas n’étaient plus venus en France depuis de longues années. Pour leur grand retour, ils ont offert au public niçois un show grandiose, à l’américaine, sans temps morts, avec jeux de lumières et projections vidéo, jusqu’au final éblouissant et leur tube planétaire I gotta feeling. A minuit et demie, en quittant  les lieux, on entendait sur toutes les lèvres des adjectifs faisant l’éloge du concert. Grandiose. Exceptionnel. Magique. Inoubliable.

La soirée avait commencé sous les meilleurs auspices sur la scène Masséna. A 20 heures, Ezra Collective a séduit le public avec un mélange fiévreux de jazz moderne, afrobeat, hip hop et grime anglais. Un peu plus tard, Massego et son saxophone faisait monter d’un cran l’ambiance, avec ses titres teintés de jazz, R&B et musique électronique.

Du côté du théâtre de verdure, les amateurs de jazz étaient sous le charme de Sarah McKenzie. La pianiste, toujours d’une grande élégance, était accompagnée de musiciens renommés dans la scène jazz française. Toute en délicatesse, elle nous a emportés et nous a fait voyager, mêlant standards et nouveaux titres.

Sarah McKenzie (crédit photo : ville de Nice)

 

En fin de soirée, alors que les Black eyed Peas mettaient le feu à la scène Masséna, l’Orquesta Akokan composé des meilleurs musiciens de Cuba, faisait danser le public du théâtre de Verdure sur des rythmes mambo.

 

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