Rencontre avec Stepfanie Kramer, l’héroïne de la série Rick Hunter

Lors du dernier festival de la télévision de Monte-Carlo, nous avons eu l’occasion de rencontrer Stepfanie Kramer, le sergent Dee Dee McCall dans Rick Hunter, la série à succès des années 90.

La comédienne, d’une extrême gentillesse, nous a parlé de sa carrière, de ses goûts, de la Côte d’Azur et de la vie en général. Plus qu’une interview, c’était une agréable conversation.

Stepfanie Kramer était à Monte-Carlo en tant que membre du jury. Pourtant, ce n’était pas sa première visite dans la région. L’année précédente, elle était déjà venue au Festival. Elle avait alors visité Eze et Saint-Paul de Vence en compagnie de sa fille, la comédienne Lily Richards, dont elle est très proche.

Toujours disponible pour ses fans, elle parle volontiers du rôle qui l’a rendue célèbre. Elle avoue être étonnée de la longévité d’une telle série. C’était une belle expérience qu’elle n’oublie pas mais elle est aussi tournée vers l’avenir puisqu’elle nous a confié qu’elle était pleine de projets : une comédie romantique au cinéma, des pilotes pour des séries, un recueil de nouvelles qu’elle est en train d’écrire.

Nous lui avons alors demandé de nous parler de cinéma, de ses goûts. Hormis les films d’horreur et les films en 3D, elle aime tous les genres. Elle voit beaucoup de films, chez elle, sur un énorme écran, mais aussi au cinéma. Récemment, elle a adoré Birdman d’Inarritu ou Whiplash de Damien Chazelle mais son film préféré reste Autant en emporte le vent.

Elle lit aussi beaucoup, des romans, des nouvelles de Richard Matheson notamment, mais surtout des livres sur la spiritualité. Le pouvoir du moment présent d’Eckart Tolle l’a beaucoup marqué et l’a aidée dans son voyage spirituel.

Dès lors, la conversation prend une autre tournure. La comédienne nous a parlé de la vie, de l’importance d’être bienveillant, respectueux, aimable mais surtout tolérant. Elle est consciente que nous sommes sur terre pour vivre une vie bien remplie. Ce que l’on donne aux autres, on le donne aussi à soi-même. Un adage qu’elle applique aussi bien dans sa vie qu’au cinéma.

Stepfanie Kramer