Walther Gallay, 1er album solo : Interview

gallayA l’honneur sur France Net Infos depuis plus d’une semaine, pour la sortie de son premier album solo, Walther Gallay n’en est pas à son premier essai.

L’artiste cultive en effet l’art du rock’n’roll depuis plus de 20 ans au sein de son groupe Café Bertrand. Il en a d’ailleurs baptisé ainsi, l’un des albums de son groupe, « L’Art Délicat du Rock’nroll », sorti en 2008. Auteur, compositeur, interprète, Walther Gallay a cotoyé les plus grands, AC/DC et Deep Purple pour n’en citer que quelques uns, mais aussi Mano Solo, et on y reviendra d’ailleurs au cours de l’interview. Il a aussi joué sur de nombreux Festivals comme le Montreux Jazz Festival, mais aussi à l’Olympia, ou encore le Vélodrome de Marseille et même le Stade de France en juin 2009, où son groupe avait l’honneur de faire la première partie d’AC/DC. Si certains attrapent la grosse tête pour moins, Walther Gallay garde bien les pieds sur terre. Sûr, je l’ai rencontré, et l’homme est animé par une passion qui mérite le respect. Je garderai d’ailleurs longtemps en mémoire ce concert du 30 avril 2010 à Paris à l’Espace Kiron, où le groupe Café Bertrand se produisait dans le cadre du Live Chez Toi Tour, avec les groupes Subsonic et Dead Dog Cafe. Après un concert très chaleureux, le concert s’est poursuivi dans la rue jusqu’à deux heures du matin, où les fans rassemblés ont pu apprécier entre autre, une chouette reprise de Dirty Old Town, chanson écrite en 1949 par Ewan MacColl et devenue célèbre grâce aux Pogues et aux Dubliners. Alors forcément je ne peux m’empêcher de vous faire part du plaisir que j’ai à retrouver Walther Gallay sur France Net Infos, pour une interview, consacrée à son premier album solo.

Le premier album solo de Walther Gallay est un nouveau défi à cette vie d’artiste déjà bien remplie. On avait eu un aperçu y’a quelques années de ce que pouvait donner Walther Gallay en solo, avec le titre « Un Monde à Part » repris au final par Café Bertrand sur leur dernier album. Là ce sont 12 titres aux influences diverses que l’on découvre, allant du rock, en passant par la chanson française, le ska, le folk et le blues, voire la musique tsigane. Celle là même qui l’a bercé durant son enfance, grâce à son grand-père. On relève rapidement une vraie sensibilité dès le premier morceau ‘Bonheur Potentiel’, teinté d’électro. Les Stigmates d’une vie passée à errer sur les routes, confirme le talent d’un auteur compositeur interprète dont l’écriture et l’interprétation ont une importance majeure. A noter aussi de nombreuses collaborations sur l’album et pas des moindres…..

Sensible sur “Changer le Monde” aux accents blues, entraînant sur “Stigmates”, rageur et très rock sur “Victoria”, au final explosif, Walther Gallay surprend avec “N’importe quoi”, un morceau ska et l’excellente et très touchante reprise de Stereophonics avec ‘In a Moment’.

Attaché à la langue de Molière, Walter Gallay est un artiste à classer entre Léo Ferré, Bertrand Cantat et Mano Solo, qui ne laissera personne indifférent. Je vous laisse en sa compagnie :

Salut Walther. Tu viens de sortir ton premier album solo, après plus de 20 ans de présence sur la scène rock au sein du groupe Café Bertrand. Cet album est le fruit de nombreux morceaux écrits au fil de ces années. Pourquoi ces morceaux ne seraient t’ils pas sortis sous le nom Café Bertrand ? Pour la plupart ce sont des écrits qui étaient déjà personnels et absolument pas voués à Café Bertrand, il y a une part d’intime que je ne me sentais pas de faire sur scène avec le groupe, de par leurs univers différents alors que CafB a une ligne décidément rock. J’écris depuis plus de 20 piges presque au quotidien et j’empile les cahiers depuis toujours, ces textes sont la résultante du mélange de plusieurs autres, c’est un album que je me devais d’assumer et je ne voulais surtout pas qu’on le confonde avec ce que je fais dans Cafb,il n’y aurait eu alors aucun intérêt à sortir ce disque. Par contre des titres comme Victoria ou In Nominé Patris faisaient partis des songs envisagées pour CafB mais les musiciens de l’époque ne trouvaient pas ça assez rock, c’était l’occasion de les graver sur sillons, un peu comme Un Monde à Part qui avait été mis aux oubliettes jusque 2010 et que la dernière mouture du groupe a brillamment joué et arrangé, il a terminé sur le dernier (« les mains dans l’encre ») du coup.

Est-ce qu’on peut dire qu’il y avait en toi une certaine frustration ? Ou plutôt un besoin de dévoiler des morceaux plus intimes ? J’ai toujours eu des frustrations, c’est sans doute ce qui me fait écrire mais je ne me sentais pas frustré pour autant ! Comment l’être alors qu’on arpente les scènes depuis 23 ans maintenant ? Un vrai besoin d’exulter certains passés très personnels, chaotiques pour la plupart. J’ai tenté de ne pas être aussi dark qu’avec CafB mais c’est décidément enfoui en moi, même si les thèmes sont plus « légers »  je ne bave pas devant un coucher de soleil, c’est malheureux mais c’est ce qui a fait sonner cet album comme ça.

Justement qu’est ce qui différencie le travail des morceaux de cet album avec un album de Café Bertrand ? Absolument tout ! Je me suis enfermé avec mon Home Studio et j’ai composé toutes les bases des instrumentaux, batteries, basse, guitare, violons, violoncelles, etc, ils ont été ensuite sublimés par les invités qui les ont joués mais je suis resté assez directif quant au résultat. Idem pour les textes et le chant, j’ai cherché, fouillé, tordu, ré arrangé, effacé, essayé. Tout était prêt à être enregistré une fois que j’avais l’idée finale en tête.

On retrouve des influences plus variés, allant du folk au blues en passant par le rock et même la musique gitane ou la chanson française, je pense notamment à Ferré. Comment se construit la couleur d’un morceau ? Je ne sais pas franchement comment on construit la couleur d’un titre. Je dirai que c’est soit le texte déjà écrit qui va inspirer une ambiance qui va être insufflée à la chanson, ou alors l’inverse (In Nominé Patris, Victoria, et les 2 électro composés eux par Kep Dany et N’importe Quoi par Michael Borcard), une musique me donne une idée de thème et j’adapte alors un texte dessus. Des influences variées car j’ai écouté de tout depuis tout gosse et puis c’était sympa de s’essayer sur d’autres styles que je ne prétends pas révolutionner, loin de moi cette prétention. Django Rheinardt m’accompagne depuis tout gosse, Mano Solo depuis jeune, le rock est toute ma vie, le blues est un jardin secret et l’électro un exercice que j’adore, tous les ingrédients étaient donc réunis pour un album éclectique. Les textes ont donné la couleur aux titres pour ceux qui ont été composés après la partie écriture des paroles.

Attachés au rock français, on retrouve sur l’album un titre en anglais avec « In a moment «, reprise de Stéréophonics. Pourquoi cette reprise ? Tout simplement parce que je suis un fan absolu de Kelly Jones depuis des années et que les paroles de ce titre convenaient à merveille au ressenti que j’avais, quand tu te regardes dans la glace et que tu ne peux pas voir ta gueule. Sur l’album, il est noté ironiquement « pardon au peuple anglais pour cette reprise », tout simplement aussi pour fermer la gueule à ceux qui rêvaient de l’ouvrir en me disant que je ne chante pas bien l’anglais. Tu sais, travailler avec Roger Glover amène toujours quelques jalousies, alors l’autodérision dans l’interprétation de cette chanson accompagnait l’humeur du moment et puis après le français, pour moi, c’est bien l’anglais qui permet le plus de moduler et d’insuffler une âme à un titre.

Je suppose que d’autres titres trainent dans tes tiroirs. Comment c’est opéré ce choix des 12 titres ? J’ai maquetté plus de 60 chansons, une 40ene avec des « voix témoins » (voix provisoires lors d’enregistrements studio) et finalement 10 ont été retenues, je voulais un album de cœur, du vrai, pas de l’esbroufe à la con et ce ne sont que des amis de très longue date qui jouent dessus, et c’est l’amour qu’ils ont mis dans ces titres, j’entends par là le besoin de répondre à une amitié sincère qui m’a convaincu que ces 12 titres étaient les bons. J’ai éliminé les chansons au fur et à mesure, avec l’aide de mon éditeur qui est un ami et me connait mieux que personne, lui aussi savait ce qui allait pouvoir être assumé sur album et sur scène dans un climat solo, nous tombions toujours d’accord, le choix fût donc assez facile en résumé.

On retrouve sur l’album la présence d’Alain Perusini, membre lui aussi de Café Bertrand. Cette présence était t’elle importante pour toi ? Alain opère comme bassiste de CafB depuis 10 ans et c’est sans nul doute mon meilleur ami. Mise à part la musique, humainement, ce mec m’a soutenu plus d’une fois, c’est un sage qui est plus qu’important pour moi ! Je n’envisageais nullement de jouer sans lui, il sera sur la tournée de l’album qui débute le 19 Septembre au Kfe Quoi. Outre le fait qu’il est, avec les autres CafB, le seul à pouvoir me supporter (rires) car aux antipodes de mes humeurs souvent colériques et à pouvoir m’amener là où il veut,il sait me prendre le bougre, c’est ça un vrai pote je pense. En plus de cette indéfectible amitié, Alain m’a aidé à produire cet album en me mettant le Studio Le Garage à dispo, ce qui m’a évité un cout certain, idem pour le mixage et le mastering car soyons clairs, ce mec a un niveau hors norme et c’est pas pour rien que nous avons fait mixer et masteriser aussi le dernier CafB chez lui, après Roger Glover qui avait mixé « L’art délicat du rock and roll », il ne pouvait y avoir que lui, le bassiste pourpre confirme !

 Pourquoi ce titre : Stigmates ? Parce que tous les textes de cet album sont extraits de périodes qui ont laissé des traces indélébiles chez moi, la came, le désamour, la solitude ou encore la remise en question.

Avec « Histoires de gamins » on ne peut s’empêchera de penser à Mano Solo. L’avais tu rencontré ? Qu’est ce qu’il représente pour toi ? Heureusement car ce titre est un hommage à Mano Solo ! J’ai allusionné le texte en incluant « 10 ans du matin » par exemple qui était un de mes titres préférés. Oui j’ai rencontré Mano, il était venu voir jouer Café Bertrand à la Péniche Alternative en 2005 je crois, il avait été intrigué par une chanson qui s’appelait les Frères Misère, le même patronyme qu’un groupe qu’il avait monté quelques années avant. Nous avions pas mal de points communs dans nos parcours, on a parlé jusqu’à 6 ans du matin

Quels sont tes projets solos ? Des concerts à venir ? Bien sûr cet album va être défendu sur scène à partir de Septembre, en parallèle de CafB qui prépare son 5eme album et une nouvelle tournée que nous allons peaufiner cet été en résidence. La 1ere date est le Vendredi 19 Septembre dans le nouveau Kfe Quoi, « chez moi », à Forcalquier, Z.A Les Chalus. 10 des invités de l’album seront présents, Carl Wyatt, les CafB, Michael Borcard (mon ami suisse responsable des cuivres de l’album),Jean-Paul Avellaneda (chanteur et guitariste de Mercy qui a composé les guitares de Changer le Monde), son fils Stéphane à la batterie si il n’est pas en tournée avec Ana Popovic, en ce cas un autre batteur est prévu. Bref, 10 gaillards sur scène pour 1 heure et demie de grand plaisir c’est à n’en point douter ! Stigmates sera joué sur Paris, Grenoble, Lyon, Genève, etc. En tournée, comme tous les projets que je défends puisque ma vie est sur scène et nulle part ailleurs.

Avec la présence d’Alain Perusini les concerts solos ne risquent t’ils pas de se jouer plus version Café Bertrand ? Comment garder cette couleur plus personnelle que tu as créée ? Alain est un musicien professionnel, il a joué avec des mecs pas possible (Jermaine Jackon entre autre) et crois-moi il sait gérer sa basse comme personne. L’album sonnera plus live sur scène mais la combinaison complexe de certains arrangements obligeront à les jouer tels quels et je ne me fais aucun soucis. Ce sera plutôt à moi au chant et à la gratte de me rappeler que je ne suis pas sur scène avec CafB et mes potes seront là pour m’épauler, le Sioux en fait partie !

On retrouve de nombreuses collaborations avec entre autres des membres de Deep Purple. Je suppose qu’il y a un gros travail derrière. Combien de temps pour enregistrer un tel album ? Rien du tout ! J’étais avec Roger Glover au Zénith de Paris 2 mois avant, il avait 3 jours de libre entre la fin de la tournée Deep Purple 2013 et d’autres obligations, nous avons enregistré ce titre en 1 jour pour la basse, c’est quand même R.Glover ! Pour Don Airey, idem, ce mec est une légende et un clavier extraordinaire. Il m’a envoyé ses pistes par le net ce coup-ci et sinon Alain a mixé tout ça. Pour Stéphane Avellaneda, on a enregistré toutes les batteries de l’album en deux fois, en Aout et Déc 2013, chez son père Jean-Paul qui a un Studio (Studio AVS à Oraison), donc pas de soucis de ce côté-là non plus. En fait, tout le monde a speedé, ce sont des amis encore une fois, ils connaissent mon impatience légendaire (rires) et même Christophe Graciet, mon frangin harmoniciste qui était en train d’enregistrer un plan avec The Hyènes a prit le temps, ils ont tous envoyé sévère et rapide, un vrai bonheur. Il est à noter que je voulais sortir cet album le jour de mes 43 ans, chiffre qui me suit depuis tout petit (même le logo de Cafb était confondu avec un 43, l’album fait 43 mns, et ce même chiffre est caché quelque part dans le livret de l’album), j’ai donc stressé tout le monde pour ne pas subir le moindre retard. En tout on a mis 10 mois de l’écriture au mastering de cet album. Je l’ai débuté le 9 Mars 2013 et terminé en Décembre 2013. Et quand on est suivi par des mecs comme je le suis avec les guest de Stigmates, crois-moi c’est que du bonheur, un travail énorme cela va de soi, mais comme dans tous les métiers après tout, chacun sa croix, moi elle est en là. Je remercie d’ailleurs tous les studios qui m’ont aidé dans cette tâche, Magic Studio à Valence, Le Glover’s Studio, Le Garage Studio et enfin EVS Studio.

L’artiste solo ne risque t’il pas de nuire à Café Bertrand ? Je ne l’espère pas et je ne pense pas honnêtement. Je ne peux rivaliser avec le charisme qu’a CafB sur scène et ce sont deux mondes complètement différents. Bien sûr beaucoup de fans de Café Bertrand ont acheté Stigmates curieux de voir ce que je pouvais donner en solo et finalement adorent, ce n’est pas pour autant qu’ils arrêteront d’aller voir le groupe en live. Pour l’instant, celui qui doit faire ses preuves sur scène c’est moi avec ce projet. CafB voit tomber les groupes les uns après les autres et existe depuis 23 ans, sans qu’il n’y ait jamais eu une seule année sans concert, je ne me fais aucun soucis pour le band qui est mon bébé, ma vie et devrait encore faire parler de lui prochainement !

On sent en toi une culture rock toujours très présente. Pourtant les choses n’évoluent pas spécialement dans le bon sens du terme en matière de création musicale. Comment garder l’envie ? C’est malheureux à dire mais il ne faut déjà surtout pas tout mélanger. J’ai la chance d’être d’une génération qui a connu l’explosion du rock alternatif dans les années 90 et j’écoute du rock anglais, parce que le rock est anglais, depuis toujours et je n’écoute jamais les radios type NRJ ou autres daubes qui passent de la musique pour midinette, étiquetée rock alors que c’est de la pop mielleuse, et parce qu’il y a des majors au cul qui abreuvent les stations d’argent et de passe-droits, tout ce que je déteste ! Et je ne me sens pas concerné par ça, il n’est pas difficile de faire du rock, par contre, il est viscéral d’être rock, et là, ce n’est pas la même, ça se travaille sur le long terme ;)

Peux-tu nous évoquer cette rencontre avec Deep Purple et comment est née cette amitié ? J’ai rencontré Deep Purple en Nov 2066 alors que Café Bertrand jouait ses 1eres dates en première partie. Les premières dates, je suis resté très cool, je ne voulais pas faire le fan de base qui leur colle aux baskets et c’est sur la fin de la 1ere tournée que j’ai filé un article de Aout 1967 à Roger Glover, un article qui parlait de son 1er groupe, là,on a bu quelques verres ensemble.

C’est en 2007, quand Deep Purple a demandé à avoir CafB encore en ouverture et c’est après un show que Roger m’a demandé de venir dans sa loge. Il m’a alors invité à chanter sur son album solo « if life was esay » qui était encore en projet à l’époque, et là, on a échangé nos téléphones et mails et nous sommes restés en relation depuis. Il faut dire que Deep Purple adore CafB (pour nous imposer sur 40 dates il vaut mieux lol) et depuis les toutes premières dates, Roger Glover et Don Airey étaient sur scène quand on jouait et nous filmait, nous applaudissait, bref, gros soutien des pourpres !

Et c’est enfin à Metz, après un zénith toujours, que Roger est venu dans notre tour bus, on a piolé jusqu’à point d’heure dans un rade de l’Est et là il m’a proposé de mixer « L’art délicat du rock and roll ». Depuis, j’ai enregistré le titre « when the day is done » chez Roger en Oct 2009, son album est sorti le 11 Juillet 2012, il a aussi jouer la basse sur « des cris » du dernier album de Café Bertrand et enfin sur mon solo (Changer le Monde) que nous avons enregistré en Déc 2013.

C’est une vraie amitié, nous sommes souvent en contact, et c’est devenu mon pote, je finis toutes les dates de DP avec lui à chaque fois, on s’évade des zéniths et on se retrouve comme des vrais potos, autour d’une bière, « have a good time and some drinks together ». Roger est un peu mon mentor. Ce qui est dur depuis 4 années c’est que Deep Purple demande CafB en première partie, ils ont eu un vrai coup de foudre et j’espère que leur demande sera entendue si DP cale des zéniths en France et si le promoteur France (Gérard Drouot qui nous a beaucoup aidé est d’accord aussi. Qui vivra verra !

Merci pour ce petit entretien. Que peut-on te souhaiter ? Un dernier mot ? Bonne chance suffira. Oui un mot sur l’album toujours, le 7eme titre « Presque Mort » est dédié à Dominique Landoni, ex guitariste de CafB qui nous a quittés en Sept dernier et je lui dédie aussi cet album, comme à Lydie Houdin et à quelques autres farfadets et fées qui m’ont accompagnés et m’accompagnent toujours, partout. Merci à la presse indépendante, Francofans, Vibration Clandestine etc pour leur accueil immédiat et leur soutien gratuit, ce qui est de plus en plus rare, un chroniqueur qui écoute un disque, en lit le livret et sait parler de chaque morceau en te faisant une vraie chronique sans demander 500 boules pour un encart, ça a le mérite d’être salué !

Merci à  France Net Infos également.

Albums : Stigmates

Titres : Bonheur Potentiel – Changer le Monde – Histoires de Gamins – Stigmates – Victoria – Y’a des Gens – Presque Mort – N’importe quoi – Passé par là – Les Âmes en Fougues – In Nominé Patris  – In a Moment –

 

 

 

 

 

 

 

 

 

A propos Guillaume Joubert

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Un commentaire

  1. une de mes plus belles itws, merci guillaume ! Un passage pour les visiteurs perdus qui liraient ça : Café Bertrand vient de sortir Capharnaüm, un album qui signe 30 ans de scène ;) ! A bon entendeur ^^

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