Pascal Marmet : Le roman du parfum aux éditions du Rocher

Pascal Marmet  est de retour il propose de nouveau à  son lecteur une envolée olfactive qui titille son envie de s’approprier le lourd secret de la composition d’un parfum d’exception.

La révélation d’une composition se diluera dans un dialogue entre une jeune nez et un acteur au talent exceptionnel, Tony Curtis. Cette discussion impromptue dans un avion en partance pour Los Angeles regorge de fragrance. Le lecteur pénètre dans le secret des dieux en écoutant la belle histoire de l’évolution du parfum. Le lecteur est avide de connaissance et son désir d’apprendre ne tarit jamais.

Cette discussion n’est pas unilatérale. Pascal Marmet glisse avec ingéniosité le parcours cinématographique de cet acteur légendaire qui côtoyât Marilyn Monroe.

De cette rencontre livresque, le lecteur sentira de manière assidue les odeurs qu’il croisera. Il retournera en enfance avec un désir de redécouvrir les senteurs du bonheur. Le lecteur continuera son cheminement olfactif en replongeant son nez dans les bouteilles de parfum.Pascal Marmet promet une promenade rêveuse, bucolique sur les hauteurs de Grasse et asperge à foison les senteurs de ces jardins fleuris.

“[…] Lire fut ma câlinothérapie, mon espace de soin, la cathédrale où j’édifiais mon être, le palais de mots qui tapissait mon mur intérieur. Dans la poussière des bibliothèques, je me vautrais, et quand viendrait l’heure, on m’enterrerait dans cette poussière, telle était ma folle décision.”

“[…] Les compositeurs de musiques, les peintres, les poètes ou les écrivains choisissent le titre de leur œuvre. Les parfumeurs n’ont pas cette fortune et accouchent sous x dans la clinique du marketing. Sans vous consulter, on s’empare de cette responsabilité à votre place et vous voilà dépossédé. Il y a de la souffrance, de la joie à enfanter, et le plus beau cadeau d’une mère à son enfant est de choisir son prénom. Si un jour ce parfum voit le jour, j’aimerais qu’il porte son nom de baptême lors de son lancement.”

“-En parfumerie, l’aléatoire existe, mais rien ne vaut un carnet et un crayon pour saisir la surprise olfactive qui vous attend. C’est comme une gourmandise régressive totalement propice à l’addiction, donnant un sentiment d’impertinence à vous couper le souffle.Un parfum pour dieux vivants se travaille au millimètre près, en prise directe avec le temps, du bout du doigt comme une histoire à la Michel-Ange. Une fausse note, et c’est bonjour la corbeille.”

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Les Gagnants d’1 roman par tirage au sort clôture  le jeu

Zimmerman Veronique – Blodelsheim -68 -Ferlicot Frederic- Meudon la Foret-92

Bonnet Florent –Lyon-69 -Caron Sylvie -Calais -62 -Corbet Clémence -Valonne -25

Bernard Françoise-Eaubonne-95-Vignaud Nicolas -Norges la ville-21 -Corbic Joel  -St Malo -35

Di Christophano Stéphan – Paris -75 -Guillaumet  Yannick – Voipreux–51

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