D’abord il y a la préface de Serge Klarsfeld, courte, incroyablement efficace, sans pathos, ni précaution stylistique … seulement la description minutieuse d’histoires de familles prises dans la tourmente perverse et glacée de la guerre … un état des lieux essentiel et indiscutable. “le 26 février 1944, une rafle liquide …
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