Les Amoureux – Comédie au Théâtre Déjazet – Paris

Les Amoureux, comédie de Carlo Goldoni (le Molière italien) dans la plus pure tradition italienne du XVIIIième siècle, mise en scène avec modernité par  Marco Pisano. De l’amouuuuur, de l’humour, du loufoque romanesque sur la scène du Théâtre Déjazet à partir du 12 janvier.

LES AMOUREUX

De Carlo Goldoni

au Théâtre Déjazet à partir du 12 janvier 2017

Ah Amour, Amour quand tu nous tiens !

Pour les Amoureux, la vision du monde est modifié, et ne tourne plus que par l’objet même de cette obsession débordante et envahissante. Et que dire lorsque une famille totalement loufoque est témoin de ces débordements amoureux et exclusifs !

L’HISTOIRE :

Milan – fin du XVIIIième siècle – Fabrizio, bourgeois désargenté et ridicule habite avec ses deux nièces orphelines, Flamminia, jeune veuve, et sa soeur cadette, Eugenia fiancée à Fulgenzio. Les deux amants s’aiment passionnément, mais Eugenia est d’une jalousie épidermique et Fulgenzio est très coléreux. Fort heureusement, Flamminia, la sœur aînée d’Eugénia, est une avocate hors pair pour plaider en la faveur des amoureux. Mais la visite du comte Roberto d’Otricoli, chasseur de dot, risque fort d’envinimer la situation, déjà très explosive, au sein de cette famille totalement loufoque…

SUR SCÈNE : Benoit Soles, Aphrodite de Lorraine, David Halevim, Sophie Nicollas, Rotem Jackman, Yoann Sover, Elisa Alessandro

AUTEUR : Carlo Goldoni (1707 – 1793)

ADAPTATION ET MISE EN SCÈNE :  Marco Pisano

RÉSERVATION ET BILLETTERIE :

à partir du 12 janvier 2017.

Les jeudi, vendredi à 20h15 et les samedi à 17h et 20h45

Au guichet : Théâtre Déjazet – 41, boulevard du temple – 75003 Paris

En ligne : wwx.theatredejazet.com et tous les sites de réservation habituels

Par téléphone : 01 48 87 52 55

LE SAVIEZ-VOUS ?

Le théâtre italien ne serait pas le même sans la plume du “Maître” des Comédies ; Carlo Goldoni. Il écrivait à propos de son oeuvre : “L’abus règne, l’art tombe et la raison s’enfuit. Qui veut écrire avec décence, Avec art, avec goût, n’en recueille aucun fruit : Il vit dans le mépris et meurt dans l’indigence. Je me vois obligé de servir l’ignorance. J’enferme sous quatre verrous Sophocle, Euripide et Térence. J’écris en insensé ; mais j’écris pour des fous”. Il ajoutera à propos de son oeuvre “Le public est mon maître, il faut bien le servir. Il faut pour son argent, lui donner ce qu’il aime”.

 

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