“Ça n’arrive pas qu’aux autres”
À partir du 28 août 2015
au Café de la Gare
C’était un Mardi. Il était 20h00. Ils étaient venus visiter cette maison. Personne n’aurait pu prévoir ce qui s’est passé. Mais comment peut-on en arriver là ? Revivez comme si vous y étiez l’un des faits divers les plus drôles et improbables de ces cinquante dernières années ! Et si, vous aussi, vous aviez eu le malheur de les rencontrer…
LA NOTE D’INTENTION DES AUTEURS ET METTEURS EN SCÈNE
Les faits divers passionnent les Français
ÇA N’ARRIVE PAS QU’AUX AUTRES est un fait divers qui, s’il avait vraiment eu lieu, aurait sans
doute fait la une de l’un de nos journaux régionaux, sous le titre de « Ils visitent une maison et perdent le contrôle d’eux-mêmes ». S’en seraient suivies trois ou quatre lignes de description superficielle du drame.
Mais que se cache-t-il vraiment derrière ces quelques lignes ?
Nous proposons aux spectateurs de répondre à cette question en assistant à la version intégrale non censurée de ce fait divers, comme s’ils y étaient, leur permettant ainsi de comprendre comment on en est arrivé là.
Tout comme les personnages, le public doit être pris dans un engrenage tel qu’il ne peut rien voir venir. Les protagonistes ont été dépassés par les événements, les spectateurs le seront tout autant.
Le regard des autres
Le principal ressort de comédie de ÇA N’ARRIVE PAS QU’AUX AUTRES repose sur les personnages, leurs rapports, leurs caractères, leurs frustrations, leurs jalousies, leurs complexes…
C’est l’alchimie entre ces quatre personnages qui va transformer une simple visite immobilière en une folie meurtrière aussi drôle qu’improbable.
Le regard des autres est l’un des thèmes phares de la pièce qui va nous permettre de pousser nos personnages à bout.
Lorsque tout va mal, comment réagir face au regard de ceux pour qui, visiblement, tout va bien ?
Deux solutions possibles : assumer cet état de fait ou faire semblant.
Tous nos personnages opteront pour la deuxième option, se vautrant dans des simulacres de bonheurs et de réussites tous plus ridicules les uns que les autres.
Mais, quoi qu’il arrive, les masques finissent toujours par tomber.
Présenté par Ki m’aime me suive & le théâtre Tristan Bernard
Texte et mise en scène de Nicolas Martinez et Benoît Moret.
Collaboration artistique : Benjamin Gauthier
Avec Ariane Boumendil, Nicolas Martinez, Benoît Moret, Pascale Oudot.
Scénographie : Virginie Destiné
Chorégraphie : Karine Orts-Briançon
Costumes : Bénédicte Defitte
Lumières : Jean-Luc Chanonat
Son : Pierre-Antoine Durand
Lieu : Café de la Gare
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