“Une Américaine à Paname”, un hymne à l’amour.

affiche-webUne « Américaine à Paname » est le carnet de route d’une jeune Afro-Américaine qui décide de quitter son pays où être noir est un crime. Utiliser des toilettes publiques, aller à l’école, au cinéma, ou prendre le bus est impensable dans l’Amérique de la ségrégation raciale. Elle part en direction de l’improbable, de l’inconnu. Paris, de la place Clichy au Moulin Rouge, il n’y a qu’un pas, et pourtant cette jeune Américaine timide et introvertie va vite apprendre qu’il faut prendre le train en marche dans le Paris canaille, le Paris fripouille, le Paris d’après-guerre. Un clin d’œil à toutes ces femmes qui, un jour dans leur vie, ont décidé de changer les choses .Entre galères, rencontres, amours, rires, les chemins ne seront pas de tout repos. Un voyage sans bagages, dans l’univers du Jazz, du Music-hall, et de l’Opérette.

1er Prix du jury au Festival Humoristique de Sorgues(84)

« Après tant d’années et un talent qui explose sur scène, pourquoi Naho demeure-t-elle inconnue du grand public ? Tout simplement parce que cette « bâtisseuse » dans l’âme a préféré construire sa carrière, pierre par pierre, sur les routes de province. Gommant ici et là quelques saillies, cimentant ses bases, arrondissant les angles qui pourraient blesser…Une sorte d’artisan du rire qui a choisi de peaufiner son œuvre ! »DSC_1009

Entretien avec… une vamp ( Naho) !

Comment passe-t-on d’une carrière tracée d’architecte au one woman show ?

Ce n’est pas si différent ! L’architecture permet de maitriser le travail dans l’espace, de jouer avec les volumes, de placer les objets, d’utiliser au mieux la lumière. Tout ce bagage m’est utile aujourd’hui. Je vois tout de suite si les gens ne sont pas bien installés, s’ils sont mal assis. Certains artistes jouent pour les dix premiers rangs. Moi, je joue pour le trentième. J’essaie toujours de monter au Sacré Coeur…

Les femmes et la folie sont des thèmes récurrents dans vos spectacles. Pourquoi ?

Parce que je ne suis entourée que de femmes folles, des battantes. Lorsqu’un homme sort de l’ordinaire on dit qu’il est courageux. Lorsqu’il s’agit de femmes, elles deviennent fofolles. Moi, j’aime ces femmes là. Ce sont des guerrières. Nina Simone était ainsi. La connaitre m’a marquée à jamais.

 

SAMEDI 4 MAI 2013 à 19h  et  21 h

Maison des Comoni – LE REVEST

TOULON

Locations: Fnac – Carrefour – Géant – Magasins U – Intermarché

06.65.62.59.69 ou www.labarjaque.com

Plein tarif : 20 € Tarif groupe : 19 € Comités d’Entreprise Adhérents: 18€ Abonnés: 17 €

        En première partie scène ouverte aux jeunes talents.

 

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