David Shrigley manipule le dessin, avec finesse, et son ironie des traits, tire toute sa révérence aux années 80, temps des fanzines et des collectifs d’artistes issus de l’underground des rues, des affichistes sauvages du métro New-Yorker et Parisien. La Fondation Lambert à Avignon l’expose jusqu’au 5 septembre. “Avant que …
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