– Courrez-y, c’est ici . ! vous crie Mia Sevensshart faute de savoir chanter.
– « Personne n’a d’alibi et le Vatican est plein de courants d’air. […] Un bon roman noir, noir comme une chasuble. », a déclaré notre ami enchaîné, Le Canard.
Une petite faim . ? Voici un encas de taille. Bon d’accord, on peut comprendre qu’on attrape parfois un bouquin juste pour se changer les idées et se distraire. Oui certes, mais ça aussi il y a toujours moyen de le faire intelligemment.
Des personnages au charisme charmant, et des noms d’empereurs. Quelque chose d’improbable, d’impossible même, tout au long de ces trop brèves 190 pages, maniées avec habileté et talent.
Fred Vargas évoquera pour son lecteur, la fraîcheur de la bibliothèque rose, mais adaptée bien sûre, en intelligence dite « d’âge ». Même émerveillement enfantin auquel on ne s’attend pas. Certes, en général on ne peut de toute façon s’attendre à pas grand chose. … Sauf que Fred Vargas, elle, a su rendre ça agréable, et Surprenant.
On croirait retrouver les saveurs de l’enfance, sans ennui, et on y prend plaisir.