Paris est… un Paradis ! C’est Le Parisien qui le dit

Du 27 au au 29 septembre, Le Parisien s’associe avec Jockey Disque pour la deuxième édition de son festival “Paris Paradis”. 3 jours de festivités à l’Hippodrome d’Auteuil, où il sera possible de danser et rire pour mieux faire rimer Paris avec écologie. 

Paris c’est la fête

Le vendredi, Paris Paradis se transforme en discothèque 4 étoiles : Suzanne et son électro à textes, Vendredi sur Mer et sa pop sucrée-salée labellisée “Hype du moment”. Et pour ceux qui  veulent juste s’oublier le temps d’une soirée, The Avener est le Dj qu’il vous faut en guise d’apéro. La techno sensuelle de Irène Drésel sera par la suite à consommer sans modération.

Paris c’est de la poésie

Après le lâché prise, samedi est placé sous le signe de la chanson française. Qu’elle soit électro-intimiste avec Hervé ou rythmée par le flow de Aloïse Sauvage. 2 jeunes artistes qui n’en veulent, à suivre de très près. Pour les moins téméraires, vous pourrez vous rabattre sur le rap mélancolique de Eddy de Pretto, et la pop enivrante de Clara Luciani.

Paris c’est drôle la nuit

Le dimanche c’est un marathon du rire qui vous attend, avec pas moins d’une quinzaine d’humoristes, dont Shirley Souagnon, Tom Villa, et Verino. Entre deux fous rires, vous pourrez participer à un tournoi de badminton, initier vos enfants au yoga, et suivre des cours de jardinage urbain. Le futur Paris  se veut bucolique et festif.

Paris c’est le Paradis ?

Vous avez 72 heures. 3 pistes de réflexion avec Emmanuel Marolle, Chef de service adjoint au Pole Spectacles-Télévision, et Grégory Plouviez, Chef du service Loisirs Ile-de-France au Parisien. 1 jour, 1 question, pour vous convaincre que Paris est et restera magique.

The Avener est originaire de Nice, Irène Drésel de Rueil-Malmaison, Vendredi sur Mer de Genève, et Suzane d’Avignon. Le Parisien fait son festival sans artistes parisiens ?

Emmanuel Marolle : Comme quoi tout ne se passe pas à Paris. :) Même si les artistes invités ont des attaches parisiennes et des labels parisiens. L’idée de cette première soirée est de proposer une affiche électro assez éclectique dans laquelle différentes tribus de noctambules peuvent se retrouver sans problème. Suzane est toute seule avec ses machines, mais puisent dans les traditions de la chanson française. Vendredi sur Mer a un côté « bubble pop » façon Lio. Irène Dresel est dans une techno plus hypnotique, et The Avener serait presque la synthèse de tout ça.

Eddy de Pretto, Clara Luciani, Hervé, et Aloïse Sauvage sont tous sur le label Initial Artist Services. Hasard ou partenariat ? Tous évoluent dans la mouvance pop-rap-électro, Paris n’est plus rock’n’roll ?

Emmanuel Marolle : Ça n’est pas du tout un hasard, même s’il n’y a pas de « partenariat ». C’est surtout que, comme beaucoup, nous adorons les artistes d’Initial. Ils symbolisent pour nous le renouveau de la musique française depuis trois ans. Ils entremêlent rap, électro, chanson à textes de manière totalement naturelle et décomplexée. Hervé et Aloïse Sauvage font partie des très gros coups de cœur de la saison du Parisien.

Hervé est une sorte de croisement entre Bashung et Daft Punk, qui est très physique sur scène, presque  comme un boxeur face à ses machines.

Aloïse Sauvage est l’une des artistes les plus impressionnantes à voir sur scène actuellement. Elle vient du cirque et est comédienne – on l’a vue notamment dans “120 battements par minute“. Elle mélange chant, danse, acrobatie pendant les concerts de manière incroyable.

Nous voulions aussi réinviter Clara Luciani déjà présente à Paris Paradis l’an passé, mais qui a fait énormément de chemin et a connu un gros succès depuis un an. Et vous verrez, même s’il n’y a pas de rockeurs à l’affiche, le show de Clara est devenue très électrique, donc assez rock.
Quant à Eddy de Pretto, nous avions envisagé de l’inviter l’an passé, mais le lieu où nous étions nous paraissait trop petit pour accueillir son public, déjà très important à l’époque. La capacité du Jockey Disque le permet cette année. Et ce sera l’une de ses toutes dernières apparitions sur scène avant de préparer son deuxième album.

Quels sont les trois humoristes à ne pas rater durant ce marathon dominical ?

Grégory Plouviez : Le dimanche, l’humour de déclinera en trois temps forts réunissant au total une quinzaine d’artistes. Sur le plateau “100% stand up”, on retrouvera notamment Roman Frayssinet. À 25 ans, c’est le chef de file de la nouvelle génération. Au Parisien, on l’aime tellement qu’on lui a décerné “l’Etoile espoir humour” l’an passé. Une gestuelle et un phrasé uniques, une efficacité comique saupoudrée d’un soupçon d’absurde, il est en plein boom. Il a déjà rempli son premier Olympia, se fait remarquer par ses chroniques sur Clique, et aura même droit à son premier premier rôle au cinéma l’an prochain.

Le plateau “Paris vu par” sera animé par Maxime Gasteuil, un vrai comique populaire dans le bon sens du terme. Un showman qui mouille la chemise et qui souligne avec truculence les différences entre vivre en régions (il vient de Saint-Emilion) et à Paris.

Avant ces deux plateaux, en début d’après midi, on aura droit en show en entier de François Martinez, un magicien aussi drôle qu’impressionnant. Dans une ancienne vie, il était ostéopathe. Il a tout plaqué pour monter sur scène. Et franchement, il a bien fait.

Paris Paradis
Du 27 au 29 septembre au Jockey Disque, à l’Hippodrome d’Auteuil
+ d’infos : ici

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