Bryan Ferry: le Palais des Congrès sous le charme du rockeur dandy !

A l’occasion du 45èeme anniversaire de al sortie de son premier album éponyme « Roxy Music », Bryan Ferry revisitait avec classe les grands classiques de Roxy Music ainsi qde nombreux ubes de sa carrière solo.

   


Des débuts glam rock au sein de Roxy Music dans les 70’s et 80’s à sa carrière solo Bryan Ferry a baigné dans tant de courants musicaux underground du glam rock au cabaret rock en passant par la musique progressive, la soul et le funk   qu’il s’est forgé une personnalité chic et rétro à part, si forte, qu’il est devenu impossible de le classer quelque part.

Cheveux légèrement grisonnants, costume ample anthracite, le look de Bryan Ferry ne bouge pas d’une tournée à l’autre. L’âge ne semble pas avoir d’emprise sur lui non plus. On lui donnerait facilement dix ans de moins. Sa voix suave si caractéristique est toujours aussi phénoménale. La scène est également identique depuis son dernier Palais des Sports. Sans décor, le plateau est uniquement habillé d’un grand rideau pourpre. Ce 02 juin, la rockstar de 72 ans apparait toujours très en voix pour revisiter The Main Thing, Out of the Blue Oh Yeah, Stronger Through the Years, Stronger Through the Years, Bitter-Sweet. Très heureux d’être ici, le crooner nous offre avec toute la suavité et l’élégance qui le caractérise une succession des grands classiques de Roxy Music. Une large place est bien sûr consacré au premier album du groupe-“Roxy Music »- 45 ans cette année avec  de tres belles versions de Ladytron, Re-Make/Re-Model, If There Is Something ou l’incandescent Virginia Plain. Sur scène, on retrouve avec joie ses arrangements free jazz créatifs plein de folie, truffés de surprises et de bruits insolites qui ont fait le succès de Roxy Music.  Autour de lui, huit musiciens et choristes assurent le tempo pendant les 1h 30 de concert.  Bryan Ferry semble s’amuser plus que jamais, alternant chanson au piano ou debout derrière le micro, esquissant parfois quelques pas de danse très appréciés. Il laisse aussi volontiers la vedette aux musiciens, comme sa saxophoniste virtuose ou son guitariste Chris Spedding, légende du rock british qui accompagne Bryan Ferry depuis quarante ans. Dès les premières mesures d’ Avalon , le public descends des gradins et accourt vers la fosse, smarphones à la main, pour immortaliser l’intant. Suivent Love Is the Drug , et deux reprises : Let’s Stick Together de Wilbert et le magique Jealous Guy de John Lennon qui fait toujours son petit effet.

Après une heure trente d’un show sans temps mort, le public ressort comblé sur la bande son qui diffuse sa reprise du Johnny and Mary de Robert Palmer.

 

Jean Christophe Mary

Titres joués : 

The Main Thing  

Don’t Stop the Dance

Ladytron  

Out of the Blue  

Oh Yeah  

A Waste Land / Windswept

Bête Noire

Zamba

Stronger Through the Years  

Slave to Love

Bitter-Sweet  

Mamouna

Re-Make/Re-Model  

Do the Strand  

In Every Dream Home a Heartache  

If There Is Something  

More Than This 

Avalon  

Love Is the Drug  

Virginia Plain  

Let’s Stick Together 

Jealous Guy  

A propos jean-christophe.mary

A lire aussi

“Première affaire” au cinéma : rencontre avec la réalisatrice Victoria Musiedlak et l’actrice Noée Abita

Mercredi 24 avril, sortira au cinéma “Première affaire”. Pour son premier long métrage, Victoria Musiedlak …

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

WP Twitter Auto Publish Powered By : XYZScripts.com