Bienprêter, ou quand un vent de renouveau souffle sur le Crowdfunding

Une nouvelle Fintech française vient de pointer le bout de son nez dans l’univers concurrentiel du financement participatif.Avec un concept innovant, la plateforme Bienprêter se lance sur un nouveau créneau de la finance participative.

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L’objectif  de la plateforme est double : d’une part, aider les entreprises à se développer en finançant leurs bons de commande et d’autre part, proposer un nouveau placement financier aux épargnants.Deux solutions en une qui répondraient donc au besoin premier des PME Françaises, à savoir l’amélioration de leur trésorerie tout en rassurant les investisseurs de ce marché en proposant un placement plus sécurisé.

L’avantage d’un tel système pour un investisseur particulier est de se voir proposer des durées de remboursement beaucoup plus courtes que sur les autres plateformes. Ajoutez à cela un taux de rendement brut de 12% avant imposition à la Flat Tax, et vous obtenez la plateforme de Crowdlending la plus rentable du web (ratio taux/durée). À noter que la plateforme a ouvert ses portes fin novembre 2018 en proposant 6 projets en collecte. Plus de 9 000 inscrits s’y sont précipités afin d’y investir une partie de leur épargne, pour un résultat sans équivoque puisque chaque projet a été financé en seulement quelques secondes.Visiblement Bienprêter, qui se veut disruptif sur le marché du financement des entreprises, a peut-être trouvé la solution tant attendue pour les TPE/PME et pour les investisseurs particuliers cherchant à diversifier leur épargne.

Les ambitions de Bienprêter :

Fondée à Paris en 2017 par Mme Daisy Montaud et M. Michaël MARTIN, spécialistes de la finance et de la disruption numérique, s’appuient sur de nouvelles méthodes de financements dans le but de soutenir le développement et la croissance des petites et moyennes entreprises.Bienpreter.com est l’unique plateforme de financement participatif spécialisée exclusivement dans le financement de créances commerciales.Les deux fondateurs, accompagnés de leurs équipes, souhaitent disrupter le marché de l’affacturage, estimé dans l’hexagone en 2018 à un peu plus de 300 milliards d’euros.Ils ambitionnent, la première année, 20 millions d’euros de créances financées sur le marché Français, et souhaitent s’étendre progressivement aux pays voisins d’ici 2 ans.

La start-up vise à atteindre le break-even en moins de 3 ans

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