L’iris blanc, le 40ème album d’Astérix est sorti !

Le village d’Astérix et Obélix accueille une innovation narrative avec l’arrivée de Fabcaro à la scénarisation dans “L’Iris blanc”, dernier-né des aventures du célèbre duo gaulois. Cet album, très attendu par les aficionados de la série, est paru le 26 octobre dernier. Il apporte un vent de fraîcheur tout en restant fidèle à l’esprit originel créé par Goscinny et Uderzo. On vous dit tout ! 

L’iris blanc dévoile un nouvel adversaire. La mission du nouvel antagoniste, Vicévertus, envoyé par César, n’est autre que de troubler la quiétude légendaire du village gaulois avec des concepts de développement personnel et de pensée positive, une satire cinglante de notre société contemporaine. La pensée positive de Vicévertus s’infiltre alors dans le village, provoquant ainsi des réactions variées et des tensions totalement inattendues. Il faut avouer que nous n’avons jamais vu nos gaulois chéris aussi adorables C’est étrange d’ailleurs….

L’iris blanc : La positive attitude, un mal pour un bien ?

Un vent de positive attitude souffle depuis la venue de Vicévertus. Quoi ? Qu’entends-je ? Plus de bagarres, plus d’insultes ? Même les romains et les sangliers sont tous mous. Quelque chose se trame ! Et c’est d’autant plus inquiétant quand quelqu’un d’important du village vint à disparaitre. Que se passe-t-il donc au village de nos irréductibles gaulois ? Nos amis Astérix et Obélix vont essayer de résoudre tout cela pour faire revenir la paix au village (enfin leur paix à eux s’entend).

Avec un Fabcaro aux commandes, connu pour son humour décalé et son talent à capturer les absurdités de notre société, le récit s’infuse d’une dose de modernité, parodiant les tendances actuelles à travers le prisme de l’antiquité. La force de cet album réside dans cette capacité à mêler le retour aux sources avec une touche de nouveauté. Les jeux de mots et les situations rocambolesques, qui ont fait la renommée d’Astérix, sont omniprésents. Et on vous le dit à la rédaction, on a beaucoup rigolé !

“L’Iris blanc” marque un tournant pour la série, avec un album qui s’inscrit déjà comme un incontournable.  L’ensemble de l’œuvre brille par sa fidélité à l’esprit original et son audace à intégrer des thématiques modernes. Fabcaro, avec cet opus, rend hommage à l’héritage des créateurs d’Astérix, tout en affirmant que l’épopée des irréductibles Gaulois peut encore surprendre et réjouir. Les fans de la première heure comme les nouveaux lecteurs se retrouveront dans cet album à la fois frais et fidèle à l’esprit des aventures du petit Gaulois.

Par Toutatis, ils sont fous ces gaulois quand même, mais qu’est ce qu’on les aime. Et on a déjà hâte de les retrouver dans un prochain opus !

A propos Jennifer Monnot

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